Offre pour les particuliers

Ma Prime Adapt : un programme novateur dédié aux personnes âgées ou en situation de handicap

Ma Prime Adapt, un programme novateur dédié aux personnes âgées ou en situation de handicap, offre une aide précieuse pour la rénovation de leur lieu de vie. Avec une enveloppe plafonnée à 22 000 euros, cette prime permet de réaliser des aménagements essentiels afin de garantir leur sécurité et leur indépendance au quotidien.

Imaginez une salle de bains équipée d’une douche à l’italienne : pratique, facile d’accès et dotée de sols antidérapants. Grâce à Ma Prime Adapt, vous pouvez transformer cet espace en un lieu sûr, répondant à vos besoins spécifiques. Des barres de soutien stratégiquement positionnées vous offriront un soutien confortable et sécurisant lorsque vous en aurez besoin.

Mais ce n’est pas tout ! Ce programme permet également de repenser vos escaliers pour en faciliter l’accès et diminuer les risques de chute. Grâce à Ma Prime Adapt, vous aurez la possibilité de transformer ces marchés en un passage sûr et pratique, adapté à vos capacités physiques.

En résumé : Ma Prime Adapt est votre allié pour créer un environnement de vie sécurisé et adapté à vos besoins. Ne laissez pas les contraintes de l’âge ou de l’handicap vous freiner dans votre quête d’autonomie. Saisissez cette opportunité pour rénover votre habitation et améliorer votre quotidien.

N’hésitez plus ! Renseignez-vous dès maintenant sur le programme Ma Prime Adapt et découvrez comment vous pouvez bénéficier de ces aménagements indispensables pour votre bien-être et votre sécurité. Plongez dans une vie plus autonome et épanouissante dès aujourd’hui !

Offre pour les particuliers

Ma Prime Adapt : un programme novateur dédié aux personnes âgées ou en situation de handicap

Ma Prime Adapt, un programme novateur dédié aux personnes âgées ou en situation de handicap, offre une aide précieuse pour la rénovation de leur lieu de vie. Avec une enveloppe plafonnée à 22 000 euros, cette prime permet de réaliser des aménagements essentiels afin de garantir leur sécurité et leur indépendance au quotidien.

Imaginez une salle de bains équipée d’une douche à l’italienne : pratique, facile d’accès et dotée de sols antidérapants. Grâce à Ma Prime Adapt, vous pouvez transformer cet espace en un lieu sûr, répondant à vos besoins spécifiques. Des barres de soutien stratégiquement positionnées vous offriront un soutien confortable et sécurisant lorsque vous en aurez besoin.

Mais ce n’est pas tout ! Ce programme permet également de repenser vos escaliers pour en faciliter l’accès et diminuer les risques de chute. Grâce à Ma Prime Adapt, vous aurez la possibilité de transformer ces marchés en un passage sûr et pratique, adapté à vos capacités physiques.

En résumé : Ma Prime Adapt est votre allié pour créer un environnement de vie sécurisé et adapté à vos besoins. Ne laissez pas les contraintes de l’âge ou de l’handicap vous freiner dans votre quête d’autonomie. Saisissez cette opportunité pour rénover votre habitation et améliorer votre quotidien.

N’hésitez plus ! Renseignez-vous dès maintenant sur le programme Ma Prime Adapt et découvrez comment vous pouvez bénéficier de ces aménagements indispensables pour votre bien-être et votre sécurité. Plongez dans une vie plus autonome et épanouissante dès aujourd’hui !

L’agence nationale de l’habitat (ANAH) et vous !

Une action relayée par les directions départementales des territoires ou par les collectivités territoriales

Depuis près de 50 ans, l’Agence nationale de l’habitat œuvre pour l’amélioration du parc de logements privés en France. Au fil des décennies, son périmètre d’action s’est peu à peu étoffé. L’établissement public est aujourd’hui un acteur majeur de l’habitat avec une forte vocation sociale. Il accompagne les propriétaires dans leur projet de rénovation et met son expertise à disposition des collectivités afin qu’elles conçoivent des politiques locales pour l’habitat.

L’Anah est un établissement public administratif placé sous la tutelle de trois ministères : celui de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, le ministère de la Transition écologique et celui de l’Économie, des Finances et de la relance.

Qu’est-ce que l’Anah ? Quelles sont ses missions ? Quelles aides financières propose-t-elle ?

L’Anah est créée en 1971 par la loi de finances n° 70-1283 du 31 décembre 1970, sous l’appellation « Agence nationale pour l’amélioration de l’habitat ». Elle se substitue alors au Fonds national d’amélioration de l’habitat, mis en place en 1945 à la sortie de la guerre, pour répondre à l’inconfort et à la dégradation du parc immobilier existant.

À sa création, la vocation de l’Anah est de donner une nouvelle impulsion à la politique de l’habitat, en promouvant notamment la généralisation dans tous les logements de W.-C, de salles de bains et du chauffage central, perçus comme éléments de confort désormais essentiels.

En 2006, l’Agence nationale pour l’amélioration de l’habitat devient l’Agence nationale de l’habitat, mais conserve l’acronyme Anah. Ce changement de nom illustre des modifications plus profondes : les compétences de l’établissement public sont élargies, pour répondre aux ambitions de la loi 2006-872 du 13 juillet 2006 portant engagement national pour le logement. L’Anah a pour rôle de développer l’offre locative privée à loyers modérés, en établissant des conventions avec les bailleurs, qui s’engagent à louer leur bien à des prix inférieurs à ceux du marché aux publics les plus modestes (aujourd’hui, ce dispositif que nous détaillons par la suite, se nomme Loc’Avantages).

Dès 2013, l’Anah s’est investie dans une lutte contre les logements les plus énergivores. Cette même année, elle a pris part au Plan de rénovation énergétique de l’habitat (Preh) avec l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) et l’ANIL (Agence nationale pour l’information sur le logement). Différentes mesures sont alors mises en œuvre afin de réduire la précarité énergétique des bâtiments à usage d’habitation. Au fil des ans, aides et financements sont ainsi apparus afin d’aider les ménages, mais aussi les bailleurs.

L’Agence nationale de l’habitat est composée de 115 collaborateurs regroupés en son siège, à Paris. Elle met en œuvre les décisions prises par le conseil d’administration, qui :

  • détermine ses orientations ;
  • décide des conditions d’attribution des aides financières ;
  • vote le budget de l’agence et le montant des enveloppes par région ;
  • approuve les comptes annuels.

Actuellement présidé par Thierry Repentin, le conseil d’administration est composé de représentants de l’État, d’élus et représentants locaux ainsi que de membres d’organisations qualifiées, telles que l’Anil ou Action logement.

L’action de l’Anah est relayée localement par les Directions départementales des territoires (DDT) ou directement par les collectivités territoriales ayant choisi d’être délégataires de compétences. En effet, depuis la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, l’État est autorisé à déléguer aux EPCI (Établissements publics de coopération intercommunale) la gestion des « aides à la pierre », c’est-à-dire les subventions liées, notamment, à la rénovation de logements privés.

Après signature d’une convention de délégation de compétence avec l’État pour une durée de 6 ans, les délégataires de compétences prennent en charge, pour le compte de l’Anah, la gestion :

  • des aides à l’amélioration de l’habitat privé ;
  • des aides à la pierre pour le logement social ;
  • des dispositifs de location-accession.

En parallèle, une seconde convention est signée entre le délégataire et l’Anah, déterminant le budget annuel des crédits dédiés au parc privé ainsi que le rôle de chacun. Deux types de conventions sont possibles :

  • convention de délégation de type 2 : instruction des dossiers d’aides financières par la délégation locale de l’Anah ;
  • convention de délégation de type 3 : instruction des dossiers d’aides financières par le délégataire lui-même.

Le budget de l’Agence nationale de l’habitat s’élève à 4 milliards d’euros pour l’année 2023. Ce chiffre est en hausse de 19 % par rapport à 2022. Pour comparaison, il a été de 2,7 milliards d’euros pour l’année 2021. En 2022, près de 3,4 milliards d’euros ont été accordés à travers différents dispositifs d’aides à la rénovation énergétique et à l’amélioration de l’habitat. Le budget de l’Anah ne se cesse d’augmenter et s’élève à des sommes records chaque année.

Une partie du financement de l’Anah est issue de la vente aux enchères des quotas d’émissions de gaz à effet de serre (700 millions d’euros en 2023).

Les autres sources de financement du budget de l’Anah sont notamment :

  • les recettes issues du Projet de loi de finances de l’année concernée qui sont spécifiquement destinées à financer le programme MaPrimeRénov’. En 2021, l’État a mobilisé 740 millions d’euros pour le dispositif. Pour l’année 2023, ce sont 2,5 milliards d’euros qui seront alloués à MaPrimeRéno’v (cette hausse significative démontre la volonté du gouvernement à rénover massivement l’habitat existant) ;
    celles émanant du plan de relance mis en œuvre suite à l’épidémie de Covid-19 (89 M€ millions d’euros pour 2023) ;
  • celles provenant du programme « Urbanisme, territoires et amélioration de l’habitat » du Grand Plan d’Investissement ;
    les recettes issues du dispositif des Certificats d’économies d’énergie ;
  • celles issues de la taxe sur les logements vacants.

Les missions de l’Agence nationale de l’habitat ont une forte vocation sociale et solidaire. Elles s’orientent autour de deux axes majeurs :

  • la mise en place d’actions en faveur d’un habitat solidaire et durable ;
  • la mise en œuvre des politiques publiques décidées par l’État.
Le rôle de l’Anah est d’améliorer le parc de logements privés en France. Cela permet notamment de lutter contre les fractures sociales et territoriales, mais aussi contre la précarité énergétique. Les dimensions solidaires et durables sont donc fortement ancrées dans l’ADN de l’organisation.
L’agence nationale de l’habitat (ANAH) et vous !

Une action relayée par les directions départementales des territoires ou par les collectivités territoriales

Depuis près de 50 ans, l’Agence nationale de l’habitat œuvre pour l’amélioration du parc de logements privés en France. Au fil des décennies, son périmètre d’action s’est peu à peu étoffé. L’établissement public est aujourd’hui un acteur majeur de l’habitat avec une forte vocation sociale. Il accompagne les propriétaires dans leur projet de rénovation et met son expertise à disposition des collectivités afin qu’elles conçoivent des politiques locales pour l’habitat.

L’Anah est un établissement public administratif placé sous la tutelle de trois ministères : celui de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, le ministère de la Transition écologique et celui de l’Économie, des Finances et de la relance.

Qu’est-ce que l’Anah ? Quelles sont ses missions ? Quelles aides financières propose-t-elle ?

L’Anah est créée en 1971 par la loi de finances n° 70-1283 du 31 décembre 1970, sous l’appellation « Agence nationale pour l’amélioration de l’habitat ». Elle se substitue alors au Fonds national d’amélioration de l’habitat, mis en place en 1945 à la sortie de la guerre, pour répondre à l’inconfort et à la dégradation du parc immobilier existant.

À sa création, la vocation de l’Anah est de donner une nouvelle impulsion à la politique de l’habitat, en promouvant notamment la généralisation dans tous les logements de W.-C, de salles de bains et du chauffage central, perçus comme éléments de confort désormais essentiels.

En 2006, l’Agence nationale pour l’amélioration de l’habitat devient l’Agence nationale de l’habitat, mais conserve l’acronyme Anah. Ce changement de nom illustre des modifications plus profondes : les compétences de l’établissement public sont élargies, pour répondre aux ambitions de la loi 2006-872 du 13 juillet 2006 portant engagement national pour le logement. L’Anah a pour rôle de développer l’offre locative privée à loyers modérés, en établissant des conventions avec les bailleurs, qui s’engagent à louer leur bien à des prix inférieurs à ceux du marché aux publics les plus modestes (aujourd’hui, ce dispositif que nous détaillons par la suite, se nomme Loc’Avantages).

Dès 2013, l’Anah s’est investie dans une lutte contre les logements les plus énergivores. Cette même année, elle a pris part au Plan de rénovation énergétique de l’habitat (Preh) avec l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) et l’ANIL (Agence nationale pour l’information sur le logement). Différentes mesures sont alors mises en œuvre afin de réduire la précarité énergétique des bâtiments à usage d’habitation. Au fil des ans, aides et financements sont ainsi apparus afin d’aider les ménages, mais aussi les bailleurs.

L’Agence nationale de l’habitat est composée de 115 collaborateurs regroupés en son siège, à Paris. Elle met en œuvre les décisions prises par le conseil d’administration, qui :

  • détermine ses orientations ;
  • décide des conditions d’attribution des aides financières ;
  • vote le budget de l’agence et le montant des enveloppes par région ;
  • approuve les comptes annuels.

Actuellement présidé par Thierry Repentin, le conseil d’administration est composé de représentants de l’État, d’élus et représentants locaux ainsi que de membres d’organisations qualifiées, telles que l’Anil ou Action logement.

L’action de l’Anah est relayée localement par les Directions départementales des territoires (DDT) ou directement par les collectivités territoriales ayant choisi d’être délégataires de compétences. En effet, depuis la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales, l’État est autorisé à déléguer aux EPCI (Établissements publics de coopération intercommunale) la gestion des « aides à la pierre », c’est-à-dire les subventions liées, notamment, à la rénovation de logements privés.

Après signature d’une convention de délégation de compétence avec l’État pour une durée de 6 ans, les délégataires de compétences prennent en charge, pour le compte de l’Anah, la gestion :

  • des aides à l’amélioration de l’habitat privé ;
  • des aides à la pierre pour le logement social ;
  • des dispositifs de location-accession.

En parallèle, une seconde convention est signée entre le délégataire et l’Anah, déterminant le budget annuel des crédits dédiés au parc privé ainsi que le rôle de chacun. Deux types de conventions sont possibles :

  • convention de délégation de type 2 : instruction des dossiers d’aides financières par la délégation locale de l’Anah ;
  • convention de délégation de type 3 : instruction des dossiers d’aides financières par le délégataire lui-même.

Le budget de l’Agence nationale de l’habitat s’élève à 4 milliards d’euros pour l’année 2023. Ce chiffre est en hausse de 19 % par rapport à 2022. Pour comparaison, il a été de 2,7 milliards d’euros pour l’année 2021. En 2022, près de 3,4 milliards d’euros ont été accordés à travers différents dispositifs d’aides à la rénovation énergétique et à l’amélioration de l’habitat. Le budget de l’Anah ne se cesse d’augmenter et s’élève à des sommes records chaque année.

Une partie du financement de l’Anah est issue de la vente aux enchères des quotas d’émissions de gaz à effet de serre (700 millions d’euros en 2023).

Les autres sources de financement du budget de l’Anah sont notamment :

  • les recettes issues du Projet de loi de finances de l’année concernée qui sont spécifiquement destinées à financer le programme MaPrimeRénov’. En 2021, l’État a mobilisé 740 millions d’euros pour le dispositif. Pour l’année 2023, ce sont 2,5 milliards d’euros qui seront alloués à MaPrimeRéno’v (cette hausse significative démontre la volonté du gouvernement à rénover massivement l’habitat existant) ;
    celles émanant du plan de relance mis en œuvre suite à l’épidémie de Covid-19 (89 M€ millions d’euros pour 2023) ;
  • celles provenant du programme « Urbanisme, territoires et amélioration de l’habitat » du Grand Plan d’Investissement ;
    les recettes issues du dispositif des Certificats d’économies d’énergie ;
  • celles issues de la taxe sur les logements vacants.

Les missions de l’Agence nationale de l’habitat ont une forte vocation sociale et solidaire. Elles s’orientent autour de deux axes majeurs :

  • la mise en place d’actions en faveur d’un habitat solidaire et durable ;
  • la mise en œuvre des politiques publiques décidées par l’État.
Le rôle de l’Anah est d’améliorer le parc de logements privés en France. Cela permet notamment de lutter contre les fractures sociales et territoriales, mais aussi contre la précarité énergétique. Les dimensions solidaires et durables sont donc fortement ancrées dans l’ADN de l’organisation.
Un expert vous rappel pour répondre à toutes vos questions

Service de rappel

Ce service est 100% gratuit et sans engagement.